Adélaïde de Souza

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Adélaïde-Marie-Émilie Filleul, puis Adélaïde, comtesse de Flahaut de la Billarderie, puis Adélaïde de Souza, alors désignée sous le nom Madame de Souza est née le 14 mai 1761 à Paris, où elle est morte le 19 avril 1836. Elle est une femme écrivain et moraliste féministe française.

D'autres auteurs la concernant[modifier]

Sauf Eugénie et Mathilde, les romans de Mme de Souza appartiennent au dix-huitième siècle vu de l'Empire. Les romans de Mme de Duras, au contraire, sont bien de la Restauration, écho d'une lutte non encore terminée, avec le sentiment de grandes catastrophes en arrière. Une de ses pensées habituelles était que, pour ceux qui ont subi jeunes la Terreur, le bel âge a été flétri, qu'il n'y a pas eu de jeunesse, et qu'ils porteront jusqu'au tombeau cette mélancolie première. [Juin 1834]


On était à la veille de la Révolution, quand ce charmant volume fut composé ; en 93, à Londres, au milieu des calamités et des gênes, l'auteur le publia. Cette Adèle de Sénange parut dans ses habits de fête, comme une vierge de Verdun échappée au massacre, et ignorant le sort de ses compagnes. [Mars 1834]


Charles et Marie est un gracieux et touchant petit roman anglais, un peu dans le goût de Miss Burney. Le paysage de parcs et d'élégants cottages, les mœurs, les ridicules des ladies chasseresses ou savantes, la sentimentalité languissante et pure des amants, y composent un tableau achevé qui marque combien ce séjour en Angleterre a inspiré naïvement l'auteur. [Mars 1834]


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